Nils Scharf, couvreur – histoire du secteur HAZET

Nous proposons toute la gamme d’une entreprise de couverture de toitures. Par ailleurs, nous concevons, fabriquons et rénovons également des revêtements de façade. Certaines personnes ne sont même pas conscientes que les couvreurs ne travaillent pas seulement sur le toit.

J'ai d'abord étudié les sciences du sport et les lettres allemandes pour enseigner dans les lycées. Je m'étais promis un travail sportif et très varié, mais ce parcours professionnel ne pouvait pas me l'offrir. Étant donné que j’aime travailler avec différents matériaux, une carrière de couvreur est idéale pour moi. Je suis physiquement actif, j'ai un contact direct avec les clients et, en tant que maître couvreur, j'effectue également des tâches commerciales.

Toute personne fiable, travailleuse et en bonne forme physique remplit déjà presque toutes les conditions. Le diplôme de fin d'études n'est pas décisif, mais les personnes en changement de cap professionnel issues du monde universitaire peuvent y faire une bonne carrière. Bien sûr, il ne faut pas avoir le vertige

Oui, couvreur est en effet l'une des professions les plus dangereuses. Seuls les monteurs échafaudeurs courent un risque plus grand. Malheureusement, les retraites anticipées et les incapacités de travail ne sont pas rares chez les couvreurs. C’est pourquoi nous appliquons le principe « Safety first ». Nous attachons une grande importance à la santé et à la forme physique de nos collaborateurs. Ainsi, en huit ans, il n'y a eu aucun accident grave, seulement de légères coupures.

Nous nous retrouvons à l'entrepôt à 7 heures du matin et chargeons les matériaux que nous emportons sur le chantier dans nos voitures. Nous travaillons ensuite à 2-3 équipes de 2 à 4 collaborateurs chacune. Le maître répartit ensuite les tâches. Les équipes passent leur pause déjeuner ensemble. À la fin de la journée, les équipes retournent à l'entrepôt. Et ensuite ? Fin de travail bien méritée après une dure journée de labeur.

Le point central de notre travail a en fait énormément changé. Au cours des 4 dernières années, les mesures énergétiques ont représenté environ 80 % de notre activité. L'étanchéité à l'air de la toiture est un facteur important. Dans l’ensemble, le secteur s’est développée techniquement et s'est professionnalisé. Une toiture doit répondre à de plus en plus de critères afin pouvoir être réceptionnée par un expert sans problème.

Dans la région de la Ruhr et dans le Bergisches Land, il y a peu de nouvelles constructions, mais de nombreuses toitures sont en mauvais état. La rénovation constitue donc la plus grande partie de notre travail. Le travail de l'ardoise est typique du Bergisches Land. Nous mettons en œuvre ce style classique de manière moderne et dynamique, et ainsi le réinterprétons.

À la fin de la journée, on voit exactement ce qu'on a fait. La sensation lorsque vous voyez 2000 tuiles sur le toit, alors qu'elles étaient auparavant par terre, est tout simplement formidable. Mais le meilleur moment absolu est lorsque l'on démonte les équipements. La comparaison avant/après nous montre clairement ce qu'on a réalisé. Cela donne toujours la chair de poule.

J'apprécie le fait que HAZET trouve des solutions optimales pour notre secteur et offre systématiquement une qualité maximale. Il manque encore un ou deux outils destinés aux couvreurs dans la gamme de produits, mais compte tenu de ce développement fulgurant, je suis fermement convaincu que HAZET comblera rapidement ces lacunes.